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  1. Comment fonctionne un vélo électrique ?
  2. Puis-je me passer de pédaler ?
  3. Quelle est l’autonomie d’un e-bike ?

Voici quelques-unes des questions les plus courantes liées au monde des vélos électriques auxquelles nous répondrons dans ce guide.

Les vélos électriques, également appelés ebikes ou à pédalage assisté, sont un moyen de transport de plus en plus populaire dans notre pays grâce à la prime à la mobilité, une contribution égale à 60% des dépenses engagées également valable pour l’achat de vélos normaux et de véhicules de mobilité personnelle à propulsion majoritairement électrique (par exemple les scooters, les hoverboards et les segways).

Pour aller dans le détail, les ebikes sont des vélos équipés d’une batterie et d’un petit moteur électrique qui permet d’éviter la fatigue lorsque cela est nécessaire. La poussée électrique nous aide, par exemple, dans les redémarrages ou les montées, ne nous fait pas transpirer et permet également de couvrir de plus grandes distances.

Du point de vue législatif, le vélo électrique est assimilé à un vélo traditionnel avec, par conséquent, la possibilité de rouler sur des pistes cyclables et des zones à circulation limitée. Nous vous rappelons également que, selon le Code de la route, le moteur électrique ne doit pas dépasser 250 watts de puissance, avec l’assistance électrique qui doit toujours être subordonnée au pédalage et doit être désactivée dès que la vitesse dépasse 25 km/h.

Un moyen de plus en plus populaire, disponible pour tous les besoins et pour tous les budgets grâce au vélo bonus. Il s’agit d’une contribution égale à 60 % des dépenses engagées  valable également pour l’achat de bicyclettes normales et de véhicules de mobilité personnelle à propulsion principalement électrique (par exemple, scooters, hoverboards et segways).

Pourquoi acheter un vélo électrique ?

Commençons par les questions les plus courantes : comment fonctionne un vélo électrique et quels types de modèles sont disponibles sur le marché ?

Un vélo à pédalage assisté, également appelé vélo électrique ou e-bike, est un vélo normal sur lequel sont installés un moteur électrique, une batterie et un système électronique de gestion. Composants qui aident le cycliste à pédaler, le moteur évitant la fatigue lorsque cela est nécessaire. La poussée électrique nous aide, par exemple, dans les redémarrages ou les montées, ne nous fait pas transpirer et nous permet également de couvrir de plus grandes distances.

Il existe de nombreux modèles disponibles sur le marché pour tous les besoins ; des modèles classiques de ville avec garde-boue et porte-bagages aux solutions compactes et pliables, faciles à transporter en voiture. Il y a aussi, bien sûr, des VTT et des vélos électriques pour les amateurs de tout-terrain.

Puis-je me passer de pédaler ?

Non, sur les e-bikes, le moteur est activé par le pédalage du cycliste. Selon la loi, les vélos électriques ne peuvent pas être équipés d’un accélérateur, et l’assistance électrique doit toujours être subordonnée au pédalage. En outre, de nombreux vélos électriques sont équipés de multiples modes d’assistance au pédalage, qui peuvent également être personnalisés par l’utilisateur.

Qu’est-ce que l’autonomie d’un e-bike ? Comment recharger un vélo électrique ? Combien coûte la recharge de la batterie ?

L’autonomie de l’e-bike dépend de la capacité de la batterie installée. En général, les vélos électriques vous permettent de couvrir de longues distances sans difficulté, vous permettant de parcourir jusqu’à 100 km avec une seule charge de batterie. Plus la capacité de la batterie est grande, plus l’autonomie, le coût et le temps de recharge sont bien sûr importants.

Les batteries peuvent être rechargées par n’importe quelle prise de courant. En outre, de nombreux modèles de vélos électriques utilisent des piles amovibles qui peuvent être facilement transportées à la maison ou au bureau. Le coût de la recharge dépend de la capacité de l’accumulateur, généralement de quelques centimes seulement.

Que dit le code de la route ?

Du point de vue législatif, le vélo électrique est assimilé à un vélo traditionnel avec, par conséquent, la possibilité de rouler sur des pistes cyclables et des zones à circulation limitée. Nous tenons également à rappeler que, selon le code de la route, le moteur électrique ne doit pas dépasser 250 watts de puissance, avec une assistance électrique qui doit toujours être subordonnée au pédalage et doit être désactivée dès que la vitesse dépasse 25 km/h. En outre, les vélos électriques ne nécessitent ni casque, ni permis de conduire, ni assurance.

Un vélo peut-il devenir un e-bike ?

Oui, il existe de nombreux kits disponibles sur le marché qui permettent de transformer un vélo normal en e-bike. Ces produits peuvent être adaptés à la fois aux modèles classiques de route/ville et aux vélos de montagne. Kits qui ajoutent un moteur, une batterie, des systèmes de contrôle, un écran LCD et d’autres composants à un vélo normal.

Conseils nutrition cycliste

Glucides et cyclisme

Concentrons-nous sur le cyclisme et essayons de faire le moins de confusion possible. Les besoins en glucides dépendent de la charge de travail que nous devons soutenir = fréquence, intensité et durée. L’apport en glucides doit donc être modulé : augmenter uniquement les jours d’entraînement et rester standard les jours de récupération.

J’ai envie d’apporter une précision, que j’ai vu répétée haut et fort par des sources plus expertes que moi en matière de nutrition et de sport en général, de cyclisme en particulier : il faut moduler l’apport énergétique en l’augmentant lorsque l’activité envisagée est suffisamment vigoureuse et prolongée dans le temps pour en bénéficier.

Par exemple, lorsque nous faisons des courses ou des sorties qui durent plus de deux heures et qui nécessitent un effort musculaire important. Il en va autrement lorsqu’il s’agit d’activités moins vigoureuses et de durées plus courtes, de courses de moins de deux heures, de sorties dont les objectifs sont plus conviviaux que sportifs, ou pour ceux qui font du vélo leur moyen de transport privilégié. Dans ces cas, les règles de base d’une bonne alimentation peuvent suffire à elles seules à compenser les sorties, tout au plus une petite collation très digeste suffit avant, pendant ou après l’activité, selon les différents cas.

En revanche, lorsque nous envisageons des sorties plus intenses, l’augmentation de la proportion de glucides est fondamentale pour obtenir à la fois bien-être et bonnes performances. Pour une course de vitesse ou de poursuite (courte et intense), l’apport recommandé en glucides est estimé à 4-7g/kg par jour. Pour une longue course sur route ou sur terre, les besoins en glucides augmentent et sont estimés à 7-10g/kg par jour.

Il ne s’agit que d’indications, car il est impossible d’estimer mathématiquement et infailliblement les besoins d’un athlète : il vaut mieux écouter ses sensations à l’entraînement et lors des sorties et identifier ses besoins, et ne jamais entrer en réserve. Se peser chaque mois est un moyen facile de comprendre si la quantité d’énergie que vous consommez est trop importante et doit être remaniée.
Je rapporte le tableau suivant afin de faire des exemples plus pratiques. Il nous donne une indication sur le nombre de grammes de glucides par kg de poids corporel à introduire par jour en fonction du niveau d’activité physique hebdomadaire.